Dimanche 29 janvier 2012
Voilà ce qui arrive quand on se met à l'eau après tout le monde, on se chope de l'eau chargée. Néanmoins, la plongée en eau trouble réserve souvent quelques ambiances particulières. Ce fut le cas sur le Pascabel dont le beaupré semblait vouloir s'échapper des profondeurs monochromes. Mais non, cette fois encore, le voilier restera posé à 18 mètres de profondeur dans la carrière de Roussay où il mène une seconde vie d'épave en eau douce. Une épave à l'abri du sel mais pas des regards de plongeurs en quête d'immersions hivernales... et d'ambiances fantomatiques !
Commenter cet article